En réponse à une question sur la suspension de la coopération judiciaire mercredi 25 février à l’initiative du Maroc et la réaction de la France à ce sujet, le porte-parole du Quai d'Orsay s’est limité à indiquer que « nous poursuivons notre dialogue étroit avec les autorités marocaines pour surmonter les difficultés récentes que nous avons rencontrées, dans l'esprit de l'amitié confiante qui lie nos deux pays. »

Et de poursuivre : « Comme le président de la République et le roi du Maroc en sont convenus lundi soir, les ministres des affaires étrangères des deux pays se sont entretenus mardi pour dissiper les malentendus, étudier les mesures qui devraient être adoptées et réaffirmer l'attachement réciproque au partenariat d'exception qui lie le Maroc et la France. »